Au sujet de la radicalité dans l’art…
Voilà qui est loin, vous vous en doutez, d’être ma ligne en tant que galeriste, collectionneuse, regardeuse – allez, j’ose ce barbarisme – et rédactrice, mais mon blog étant un espace de liberté où s’expriment, au-delà de mes propres écrits, les goûts, réflexions et critiques de mes « gentils collaborateurs » et surtout grands amis, Sonia Dubois, Thierry Martin et isabelle Véret, j’ai demandé à Thierry une de ses lectures. il m’a proposé, à la place, cet intéressant texte que vous allez découvrir dans le blog.
Pour ne pas dire plus de bêtises, je transcris intégralement ici, le mot informel que Thierry Martin m’a envoyé pour me livrer la source de ses recherches : « La demande d’intervention qui m’a été adressée, via un enseignant que je connais, concerne la clôture des événements de fin d’année organisés par les étudiant d’un Master 2 intitulé Management de l’art et de la culture qui dépend de l’IAE (avec, si j’ai bien compris, la participation de la faculté des lettres de Nice).
Le sujet central de cette session est « Radicalité », mais pas au sens politique.
Je devais faire une « conférence » le 2 mars, mais mon médecin m’a fortement déconseillé (interdit en somme) d’y participer pour des raisons sanitaires. Donc j’ai envoyé mon texte, celui qui était long et didactique. Il devrait être lu et enregistré par la voix d’étudiants ou diantes, illustré puis mis en ligne sur leur site. (Je ne sais pas lequel…)
Des informations les plus complètes sur cet événement de clôture te seront données par le dossier de presse qui m’a été envoyé et que je te joins. »*
C’est, en effet, une étude profonde et dense que Thierry Martin a titrée ainsi :
La radicalité dans le rapport entre l’art et le corps , que je vous propose.
Alors, bonne lecture !