Édito de juillet
Avec comme sous-titre « remplir la feuille » Je ne sais pas si vous lisez un journal en été, quotidien ou hebdo, le vide de l’information est abyssal, en dehors du sport et du foot surtout… Là, vous apprenez tout…
Avec comme sous-titre « remplir la feuille » Je ne sais pas si vous lisez un journal en été, quotidien ou hebdo, le vide de l’information est abyssal, en dehors du sport et du foot surtout… Là, vous apprenez tout…
Je constate en relisant mon édito de mai, qu’une fois encore, j’ai pris d‘excellentes résolutions que je ne tiendrai pas, tant il est difficile aujourd’hui de chanter à la marquise : « tout va très bien ! Si je jette un œil sur l’actualité…
« Mon œil découvre avec stupeur ce que ma main écrit » s’est écrié Sylvain Tesson, avec un demi-sourire caché dans une barbe qui rend sa beauté à un visage que la folie du vide a un temps altéré ! Durant cette rencontre…
Avril est mort vive le premier mai ! Ce joli muguet qui fleurit dans les jardins et sur et sur les tables, me donne envie de vous offrir des fleurs faute de vous donner des nouvelles de l’art de par…
Le mois de février avec ses vingt-huit jours m’amène à écrire aujourd’hui mon édito, alors que la situation internationale change d’heure en heure … pas plus tard qu'hier, France info envoyait ce communiqué : « Alors que les troupes russes…
J’ai voulu en ce début d’année titrer mon édito 2022, tant je trouve ce nombre beau à regarder ! N’étant pas artiste, moi-même, je déplore ne pas savoir le peindre ou le dessiner, mais il reste dans ma tête comme un…
A vous tous qui me lisez, ou à vous qui tombez par hasard sur mon édito, je souhaite une belle année 2022, avec tout ce que vous désirez et sans tout ce que vous ne voulez pas !
Ces souhaits lapidaires ont échappé à MailChimp qui, en bon petit soldat, vous envoie automatiquement mon blog en fin de mois ou en tout début du suivant et ne déroge à cette règle que sur ma demande impérative. Or étaient-ce les vapeurs alcoolisées des réveillons ou le manque d’allant pour trouver, dans la panoplie des souhaits, quelque chose d’acceptable dans ce climat actuel, en tout cas j’ai zappé mon édito et mes vœux par la même occasion.
Je préfère vous éviter la lecture de ce qui a marqué l’année 2021, ici et ailleurs, car l’exercice est pratiquement le même dans tous les médias, comme j’omets de lister les disparus, grands et petits, de l’année écoulée…
Alors que vous dire ?
J’ai feuillée mes éditos précédents et deux événements ont à nouveau retenu mon attention, le centenaire de la naissance de Georges Brassens et le vote accordée aux femmes en 1944.
Pourquoi ai-je retenu deux faits si différents et si inégalitaires quant à leurs conséquences, alors que tant de choses énormes nous sont tombées sur la tête en cette année 2021 ? Parce que dans mon esprit, ils ont un lien, ou plutôt l’un me fait penser à l’autre.
Dans l’édito de novembre, au sujet des droits des femmes, je rappelais à mes chères consœurs qu’avant 1944*, en France, nous n’avions pas le droit de vote. Par conséquent, une fois la loi passée, ma génération n’aurait jamais voulu manquer une élection. Je regrettais aujourd’hui ne plus ressentir cet intérêt jusqu’à ce que, dernièrement, une femme défendant des idées dont je n’avais pas honte, soit entrée dans la course.
Ainsi, glisser mon bulletin dans l’urne n’allait plus être un triste devoir mais le plaisir de soutenir quelqu’un, et une femme de surcroit!
A ceux qui, étonnés, me disent, te voila au Parti Républicain, je réponds, pas forcement, j’ai choisi Valérie Pécresse, tout simplement !
Dès lors, vous vous demandez ce que Brassens vient faire dans l’affaire ? Vous avez raison, rien, si ce n’est qu’au sujet de l’engagement, le grand Georges répond par l’une de ses plus belles chansons : La non demande en mariage.
» Ma mie de grâce ne mettons/Pas sous la gorge à Cupidon/Sa propre flèche/Tant d’amoureux l’ont essayé/Qui, de leur bonheur, ont payé /Ce sacrilège
J’ai l’honneur de/Ne pas te de/Mander ta main/ Ne gravons pas nos noms au bas d’un parchemin
…. »
Tiré par les cheveux mon édito ? Oui, et c’est souvent le cas avec cet exercice… Soit l’auteur colle à l’actualité pour l’encenser ou la démolir, soit il s’en éloigne pour céder à une lubie à laquelle il plie son argumentaire, ou mieux, parfois il se laisse aller à un instant de fantaisie.
*Le 21 avril 1944, le droit de vote est accordé aux femmes en France par une ordonnance (après un amendement du communiste Fernand Grenier du Comité français de la Libération nationale, signée par Charles de Gaulle depuis Alger. Le droit de vote des femmes est confirmé par l’ordonnance du 5 octobre sous le Gouvernement provisoire de la République française, mais il n’est utilisé que le 29 avril 1945 pour les élections municipales, puis en octobre pour les élections à l’Assemblée
Contrairement aux mois passés où j’étais à court d’informations, ne mettant quasiment plus le nez dehors, j’ai cumulé les activités en novembre à la faveur de l’ouverture des lieux et des frontières…. Des voyages à la préparation de l’exposition La…
Brassens aurait cent ans ! J’ai lu ça je ne sais où, et j’ai vu défiler toute ma jeunesse et mes émotions musicales… Chaque année, on attendait le nouveau Brassens comme les poivrots attendent le Beaujolais nouveau, mais nous, ce…
Inclusif, woke, créolisation, etc., voila quelques mots poils à gratter que je retrouve dans mes lectures journalistes et qui provoquent, dans mon pauvre vieux cerveau racorni, une éruption pire que le volcan Cumbre Vieja, sur l'île espagnole de La Palma –…
Il y a eu un grand cafouillage. Le blog de juillet vous a été envoyé aux alentours du 10 août, sans édito, mais avec un petit entrefilet où j’annonçais mes vacances. C’était peu cohérent. Ce contretemps est du à une…
L’arrivée de l’été, des libérations de toutes sortes enfin prononcées : plus de masques à l’extérieur, plus de couvre-feu et surtout la réouverture des cinémas, des musées et des restaurants, terrasses et intérieurs compris, voilà une belle pelletée de changements…