Édito d’août
Il y a eu un grand cafouillage. Le blog de juillet vous a été envoyé aux alentours du 10 août, sans édito, mais avec un petit entrefilet où j’annonçais mes vacances. C’était peu cohérent. Ce contretemps est du à une incompréhension entre mon routeur et moi. Considérez donc cet envoi de juillet comme une erreur, même si vous y avez trouvé une intéressante critique d’Isabelle Véret sur Benedetta, le film de Paul Verhoeven, présenté au Festival de Cannes et un compte-rendu de l’exposition de Marcel Bataillard.
Maintenant revenons à nos moutons. Pour être précise, j’écris l’édito de mon blog dans les derniers jours du mois en cours et j’y exprime ce qui, dans ce laps de temps, m’a intéressée, émue, exaspérée, horripilée parfois – bien que je réserve plutôt cet état à ma rubrique Humeur –
Ce que je vais relater, compte tenu du cafouillage évoqué ci-dessus, a eu lieu en juillet, durant ces fameuses vacances de juillet /août qui ont mis du désordre dans l’organisation de mon temps et de mes pensées. Août, en fin d compte, n’a été consacré qu’à la mer et à l’écrire de mon livre dont je suis entrain d’écrire le dernier chapitre.
Pour être brève, comme disent ceux qui sont trop longs, je vais vous parler d’Artmonte-Carlo, un salon d’Art et de Design et de Nice Jazz Festival qui ont tous deux eu lieu en juillet 2021.
Dans l’actualité, août a toujours été très intense et marqué dans l’Histoire par des dates tragiques de conflits, comme aujourd’hui le retour des talibans en Afghanistan. Dans le domaine de la santé, la quatrième vague est là pour nous dire que nous ne sommes pas encore tirés d’affaire. Feux, inondations, tremblements de terre, marquent la planète et nous annoncent, peut-être de redoutables changements …
Vous parlerais-je de jours meilleurs en septembre ? Je l’espère !