Édito de décembre
Ce mot, commencé à 23 heures 59 le 31 décembre, a été terminé le matin du 1er janvier, pour vous souhaiter une grande et belle nouvelle année !
Pour ne pas déroger à la tradition j’espère que 2018 vous apportera paix, santé, et amour !
Pas de réelle rubrique nécrologique cette fois, bien que nous ayons perdu en décembre Jean d’Ormesson et Johnny Hallyday, que nous pleurons dans l’ordre de leur disparition et aussi, pour moi, dans celui de ma préférence…
Mais ce regard sur 2017 s’arrête là et c’est, sans boule de cristal, de l’avenir que je veux vous parler. Vous l’avez peut-être lu dans mon blog, car je n’ai pas le succès modeste, j’ai eu la joie de voir mon premier roman édité, ce qui a fait de 2017 une belle année pour moi, malgré le chagrin de perdre des êtres chers…
Atteinte du virus de l’écriture, j’ai mis en chantier un livre dont j’ai posé les bases, mais qui demande à être écrit ou plus précisément, que je dois écrire, et pour cela il me faut du temps, beaucoup de temps !
Bien que je sois un peu paresseuse en comptes rendus d’expositions, films, moments d’humeur, portraits d’artistes, etc. (il y a d’ailleurs bien longtemps que je n’en ai plus écrit), ces exercices me demandent de me tenir au courant de ce qui se passe et occupent ma tête et mes doigts, au détriment d’une disponibilité pour penser un nouveau bouquin…
Aussi, au lieu d’alimenter, même chichement mon blog chaque semaine, j’ai donc pris la résolution de me consacrer dans les mois à venir à l’écriture d’un roman, sans abandonner pour autant mon blog, mais de ne vous l’envoyer qu’une fois par mois.
Je vous dirai si cette semi-disponibilité a une quelconque efficacité sur mon imagination ou si au bout de quelque temps, séchant sur ma copie, j’envisage de revenir plus fréquemment vers mon blog et par conséquent, vers vous…
Vous serez ainsi partie prenante de l’histoire qui va se construire, du moins je l’espère, et vous pourrez dire quand vous serez sans nouvelles : « Allez, laissons-la travailler ! »