"The Problem Of Sisyphus", 2012. 
Marbre, 
Photo Pat Verbruggen. 
© Angelos Bvba / Jan Fabre / © Adagp Paris 2018.
"The problem of Sisyphus", 2012. Marbre, Photo Pat Verbruggen. © Angelos bvba / Jan Fabre / © Adagp Paris 2018.

Jan Fabre, « Ma nation : l’imagination », Fondation Maeght

« Cerveau avec arbre miniature », 2011.
Bronze .
© Angelos bvba / Jan Fabre / © Adagp Paris 2018.

Je ne dirai pas allez voir, mais courez voir l’exposition de Jan Fabre à la Fondation Maeght, elle est fabuleuse ! Je lui consacrerai très bientôt un article, mais voici, extrait du dossier de presse, quelques mots qui vous donneront peut-être un aperçu que de ce que cet artiste, qui se dit : « guerrier et serviteur de la beauté », peut faire avec la matière, une succession de petits chefs-d’œuvre* !

« Grand héritier du surréalisme et du baroque flamand, comme de l’art dramatique et de la danse contemporaine, on ne présente plus Jan Fabre, artiste plasticien créant des sculptures et des installations, grand dessinateur et également artiste de la scène et auteur. Jan Fabre a conçu une exposition « sur-mesure » pour la Fondation Maeght, une exposition qu’il a voulue spirituelle, dans tous les sens du terme, à la fois onirique, grave, mais avec l’ironie des jeux et l’humour à la manière de James Ensor. Il fait dialoguer ses découvertes d’artiste avec celles de la science et de l’histoire des arts.

* Quand je dis : petits chefs-d’œuvre, c’est que Jan Favre, avec ses petites pièces, frôle le sublime, mais contaminé par le gigantisme actuel, du type Damien Hirst à La Punta della Dogana, il s’en sort bien aussi,  et avec plus de cœur et d’intelligence.

De juillet au 11 novembre Fondation Maeght – Saint-Paul de Vence –

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