OVNi | Nice Festival d’art vidéo
OVNi | Nice
Festival d’art vidéo
Exposition « Des choses qui sont parfois et accidentellement vraies » au 109
Parcours Villes et Parcours Hôtels—
- Quand ? 17.11.2023 ❯02.12.2023 pour l’exposition, 17.11.2023 ❯03.12.2023 pour le parcours villes, 01.12.2023 ❯ 03.12.2023 pour le parcours hôtels
English version here ! Parcours Villes
à Nice !
Every-Sunday-Grand © Laure Prouvost
Après la soirée d’inauguration de la 9ème édition le 17 novembre au 109, et le vernissage des installations OVNi sur le territoire, découvrez ici le deuxième week-end du festival dans la ville de Nice.
Mardi 21 Novembre
Musée National Marc Chagall : Pièce chorégraphique
Les Glaneurs de rêve par la Compagnie Humaine, Eric Oberdorff
à 19h Entrée gratuite sur réservation
Cette création s’inspire de l‘univers poétique et littéraire de l’artiste Patti Smith, plus particulièrement du recueil éponyme, récit autobiographique bref et lumineux, achevé le jour de ses 45 ans, composé de poèmes et de courts textes en prose.
Les glaneurs de rêve @compagnie humaine, Eric Oberdorff
Jeudi 23 Novembre
Conservatoire régional de Nice : Œuvres sons et images
Joao Pedro Oliveira (Portugal),
Ake Parmerud (Suède),
Julie Mansion Vaquié (Université Côte d’Azur) ,
Francis Dhomont (France) et Iñes Wickman (Colombie),
à 18h30
Présentation dans l’auditorium de 4 œuvres de vidéomusique, 4 abords différents du rapport musique/image avec des artistes musiciens internationaux.
Vendredi 24 Novembre
Le Cinéma Belmondo – Le « Mercury » x Regard Indépendant 2023
Projection de Carte Blanche Super 8 choisi par l’artiste Giulia Grossmann
à 19h
La programmation Terre-Mer présente une sélection de films expérimentaux tournés en pellicule, chacun explorant de manière singulière des relations cinématographiques libres de toute contrainte narrative, mettant en avant le monde marin, l‘horizon, la Terre et le minéral.
Diffusion de l’oeuvre DAS WASSER DES LEBENS de Jürgen Nefzger
de 18h à 23h (ou rendez-vous)
Une réflexion autour de la mémoire et de l’effacement, de ce qui se transmet et de ce qui disparaît. Tourné en Bavière du nord, dans la maison natale de l’artiste, ce film entremêle différents récits: celui d’une mère lisant peu avant sa mort un conte de Grimm, celui d’un ami d’enfance revenu habiter les lieux une dernière fois, celui d’un fils qui en vidant les pièces se heurte à la présence fantomatique d’une histoire familiale.
Demotape, 2020 © John Wood et Paul Harrison
Samedi 25 novembre
A partir de 13h
Projections le 25 novembre de 13h à 18h
Dans l’exposition « Faire, nager et s’envoler », curating Mathilde Roman
installation vidéo « Every Sunday, Grandma » de Laure Prouvost ( 2022, 7’17) et « Se laisser enseigner » de Laëtitia Bourget (2022, 7’43),
Laure Prouvost a invité sa grand-mère et des enfants de son quartier de Molenbeek à collaborer à sa vidéo Every Sunday, GrandMa, filmant sa grand-mère lorsqu’elle devient oiseau, lorsqu’elle part migrer avec eux, faisant disparaître les frontières et apparaître les désastres qui détruisent les écosystèmes, les vies humaines et animales, encouragée par les chants des enfants. Nager, flotter, voler non pas pour s’échapper mais pour faire corps ensemble et transformer nos manières de faire, de voir, de penser. de Laure Prouvost.
De 14h à 17h
Simone Simon « Au rythme du paysage » Rencontre avec l’artiste.
Linda Sanchez 11752 mètres et des poussières…
Une goutte d’eau en macro glisse longuement sur une surface dont on ne distingue ni les bords, ni la pente ni la nature. Le point de vue est à l’angle mort de la goutte d’eau. L’infinie glissade de la goutte est réalisée grâce à un outil qui lui fait faire du surplace. C’est la surface qui remonte à contresens de sa descente.exposition vidéos des artistes John Wood et Paul Harrison et Moussa Saar
Auteurs essentiellement de vidéo de performances où ils se mettent souvent en scène, John Wood et Paul Harrison travaillent ensemble depuis 1993. Leur exposition Tango présente dans Le château d’espace à vendre, cinq vidéos grands formats dont deux réalisées pour l’occasion ainsi qu’une sculpture en extérieur.
Le jeune artiste Moussa Sarr dont la vidéo est l’outil de prédilection présentera une exposition personnelle à Nice La bête ! un ensemble de ces vidéos et deux photographies issues de ses performances.
de l’artiste Christine Barbe
Depuis 1999 l’artiste commence l’exploration de l’outil vidéo et poursuit ainsi son observation se jouant des arrêts sur image afin de mieux révéler – grâce à ces captations de visuel en mouvement – les distorsions sociales, à présent mises en scène. La pratique de Christine Barbe se situe à la croisée de la peinture, du dessin, de la photographie, de la vidéo, de l’image imprimée, ces pratiques se répondant et se nourrissant l’une l’autre. Son travail a fait l’objet de nombreuses expositions à travers le monde
Here, there, Anywhere de l’artiste Hélène Mukhtar
Ici ailleurs, quelque part…. Nous sommes dans une dimension parallèle futuriste où les machines volent comme des insectes autour d’ombres sans visage. Des formes humanoïdes se déplacent autour d’abstractions géométriques et de symboles pseudo-mathematiques. De temps en temps, des vols d’oiseaux interrompent l’image. La bande sonore créée par un compositeur niçois, Georges Gondard, souligne le caractère un peu étrange, inquiétant et mystérieux de l’action
À 18h
109 | Pôle de cultures contemporaines,
Tête brûlée , Emanuel Malak Rencontre avec l’artiste.
L’égoïsme et l’insensibilité font partie du comportement autodestructeur d’une personne. Croyant qu’il est le plus rusé, un dealer mineur se trouve bloqué dans une situation à cause de plusieurs mauvais choix dont il a sous-estimé les conséquences.
Jeudi 30 novembre
À 18h
Nouveau Musée National de Monaco – Villa Paloma :
Projections autour de l’arte povera dans le cadre de l’exposition « Pier Paolo Calzolari – Casa ideale » et du programme « Winter Video Days ».
Curating par Guillaume de Sardes11752 mètres et des poussières…2014 © Linda Sanchez